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Contre la pensée unique

Un autre regard sur la mondialisation, la démocratie, les nouveaux pouvoirs planétaires... 
 
 
"Stop", Laurent de Bartillat et Simon Retallac  
 
 
Un livre choc sur l'état de la planète, avec 450 pages d'images fortes et de textes écrits par 25 participants: Arundhati Roy, Edgar Morin, Corinne Lepage, Mikhaïl Gorbatchev, Robert F. Kennedy Jr, Robert Redford, le chef Raoni, Susan George, Edward Goldsmith... 
 
"Les catastrophes écologiques se multiplient. Nous dilapidons les ressources de la planète. La gangrène de la pollution fait chaque jour un peu plus de ravages. Les états reportent a plus tard des décisions urgentes pour la survie de nos enfants. D'énormes pressions politiques et économiques bloquent l'émergence d'un monde plus durable. Pourquoi? Nous le savons tous, la planète est en danger! Comment réagir? Ce livre apporte des réponses et surtout des solutions claires et accessibles qui prouvent que des alternatives sont possibles. Mais le temps presse. Un texte fondamental, une documentation spectaculaire, «Stop» peut et doit contribuer à déclencher la prise de conscience dont le monde a besoin." 
 
Laurent de Bertillat est photographe, auteur et réalisateur de documentaire sur le thème de l'environnement. Simon Retallack est le directeur éditorial de "The Ecologist". 
 
 
 
 
 
 
 
"Les nouveaux maitres du monde, et ceux qui leur résistent", Jean Ziegler 
 
 
"Au coeur du marché globalisé, le prédateur. Banquier, haut responsable de société transnationale, opérateur du commerce mondial: il accumule l'argent, détruit l'Etat, dévaste la nature et les êtres humains.  
 
Les Nouveaux maîtres du monde", ce sont les seigneurs du capital financier mondialisé. Ce livre révèle leurs visages, d'où ils viennent, ce qu'ils font au jour le jour: à la tête des sociétés mondialisées, au sein de l'OMC ou du Fonds Monétaire International, dans les officines interlopes, les paradis fiscaux, mais aussi les bureaux feutrés des banques de Suisse et d'ailleurs. Ce livre démonte l'idéologie qui les inspire et jette une lumière crue sur le rôle joué en coulisses par l'empire américain. 
 
Analyses, portraits, informations bouleversantes, propositions concrètes, un livre écrit par un homme qui a souvent croisé les personnalités dont il brosse le portrait, et qui connait de l'intérieur les institutions qu'il critique." 
 
Jean Ziegler est rapporteur aux Nations Unies 
 
 
 
 
 
 
 
"Malheur aux vaincus", Philippe Labarde et B.Maris  
 
 
"La mondialisation triomphe, les inégalités explosent. Un phénomène de sélection-exclusion a fragilisé les plus faibles dans un processus cumulatif qui ne pouvait que renforcer les handicaps du Sud par rapport au Nord, des défavorisés par rapport aux riches.  
Darwin est à l'œuvre: tout est fait pour éliminer les faibles, profiter des différences d'âge, de sexe ou d'origine, pour « liquéfier » le travail, le soumettre à la peur, au risque. Un nouveau racisme, un véritable racisme social pointe son mufle.  
 
Les auteurs de La Bourse ou la vie avaient déjà vu juste en pulvérisant la nouvelle économie avant qu'elle ne s'effondre sous le poids de la spéculation. Ils récidivent en dénonçant l'avènement d'une « nouvelle barbarie »: un monde au-delà de l'humain où des sous-hommes serviraient des surhommes." 
 
 
 
 
 
 
 
"Géopolitique du chaos", Ignacio Ramonet  
 
"La mondialisation, la logique des marchés et l'économie de l'information sont les nouveaux credo d'un monde où États-nations, partis, gouvernements perdent leurs repères. Changement de paradigme: la promesse du bonheur n'est plus un projet de société, mais un produit. 
 
Alors que triomphent, apparemment, la démocratie et la liberté, les censures et les manipulations font un paradoxal retour en force. De nouveaux et séduisants "opiums des masses" proposent une sorte de "meilleur des mondes", distraient les citoyens et les détournent de l'action civique et revendicative. Dans ce nouvel âge de l'aliénation, les technologies de la communication jouent, plus que jamais, un rôle central." 
 
 
 
 
 
 
 
"Un totalitarisme tranquille", André Bellon et Anne-Cécile Robert  
 
"Prétendre que notre société génère, et ce de façon paisible, une forme de totalitarisme peut être reçu comme une agression inacceptable. Et pourtant! Sommes-nous encore en démocratie? Certes, on nous en parle à longueur de journée. Mais ce n'est pas parce qu'on invoque perpétuellement quelque chose que cette chose existe. L'élection présidentielle américaine vient d'illustrer les incohérences des discours officiels. 
 
La démocratie est en danger; au-delà des incantations, un travail de sape dépossède le citoyen de tout pouvoir politique et le peuple de toute souveraineté; la démocratie se vide de son contenu concret, elle est battue en brèche à la fois par les intérêts économiques dominants et par la passivité des esprits. Face à l'idéologie qui nous entraîne petit à petit, au nom de la modernité et de l'Europe, dans "l'après démocratie", l'ouvrage montre que les clés d'un renouveau de la démocratie sont à portée de main." 
 
 
 
 
 
 
 
"Vivre et penser comme des porcs - De l'incitation à l'envie et à l'ennui dans les démocraties-marchés" Gilles Châtelet  
 
"Etre passé de la chair à canon à la chair à consensus et à la pâte à informer est certes un progrès. Mais ces chairs se gâtent vite: la matière première consensuelle se transforme en une unanimité populiste des majorités silencieuses qui n'est jamais innocente. 
A ce populisme classique se greffe désormais un nouveau populisme yuppie, un techno-populisme qui entend bien afficher sa postmodernité carnassière, prompte à digérer le best-of des biens et services de la planète. 
 
Gilles Châtelet dénonce la "Triple Alliance" politique, économique et cybernétique des néo-libéraux, qui cherche à rendre rationnelle et même festive la "guerre de tous contre tous". 
 
 
 
 
 
 
 
"Cybermonde, la politique du pire", Paul Viriliot  
 
 
 
Paul Virilio est l'une des rares sentinelles à oser dénoncer les dangers d'une révolution cybernétique. S'insurgeant contre le fantasme de la démocratie virtuelle, il lance ici un véritable appel à la résistance. Il réfléchit à haute voix sur les conséquences morales, politiques et culturelles de l'accélération du temps mondial, le cybermonde. Ce dialogue passionné débouche sur une interrogation profonde sur le sens du temps et celui de notre présence au monde. 
 
 
 
 
 
 
 
"La vie en miettes, expérience post-moderne et moralité", Zygmut Bauman  
 
"Zygmut Bauman, penseur atypique et inspiré, décrit d'abord dans ce livre majeur l'expérience contemporaine avec son temps accéléré, ses rencontres décousues, ses engagements momentanés, son obsession de la forme, la recherche de la sensation vraie, la vie dans le déplacement, la rencontre de l'étranger dans le tourisme ou la xénophobie, le commerce de la violence, la surveillance de la vie et la toute puissance technique. En même temps, profondément influencé par Levinas, Bauman retrouve au milieu des décombres de l'ordre ancien l'urgence et l'instance d'autrui. Là où la vie est en miettes, il reste le défi de la rencontre d'autrui. Comment vivre sans codes ni règles sans tomber dans le chaos ? Comment vivre humainement en dépit du fait que la vie est en miettes? Son livre est à la fois étonnament lucide, démystificateur et paradoxalement optimiste." 
 
 
 
 
 
 
 
"Propagandes silencieuses", Ignacio Ramonet  
 
"Face à la puissance nouvelle des communications de masse, la question que se posent les citoyens n'est plus: sommes-nous manipulés? Car la réponse à cette interrogation, chacun le sait, est malheureusement affirmative. Il s'agit désormais de savoir comment nous sommes mentalement influencés, contrôlés, conditionnés? A l'heure d'Internet et de la révolution numérique, ce livre tente de répondre à cette question majeure. En rappelant comment se fabrique l'idéologie, comment se construit cette silencieuse propagande qui vise à domestiquer les esprits, à violer les cerveaux et à intoxiquer les coeurs. A l'aide de nombreux exemples puisés dans la télévision ou le cinéma, il nous explique quels sont les mécanismes et les procédés de l'endoctrinement contemporain. Comment, sans que nous nous en apercevions, les nouveaux hypnotiseurs entrent par effraction dans notre pensée et y greffent des idées qui ne sont pas les nôtres. Ainsi, par exemple, dans les modernes sociétés médiatiques, un enfant de quatre ans, avant même d'entrer à l'école, a déjà été soumis à plusieurs milliers d'heures de télévision et a gavé ses yeux de suggestions éphémères rapidement évanouies. Evanouies? Pas entièrement, nous dit Ignacio Ramonet, car toutes ces images (spots publicitaires, films-catastrophes, séries policières, comédies, scènes de guerre et de violence...) laissent des traces subliminales dont l'influence, à la longue, finit par fortement déterminer nos comportements. Et par réduire notre liberté." 
 
 
 
 
 
 
 
"De la propagande", Noam Chomsky  
 
 
"La pratique de Noam Chomsky, c'est de vous dire ce qu'il pense, pas ce que vous devez penser. II ne se contente pas de maudire l'obscurantisme, il allume une bougie pour que nous puissions y voir. Voir ou comprendre quoi? L'impérialisme américain, d'abord, qu'il démonte avec une remarquable acuité - de l'éradication des résistances sud-américaines au contre-terrorisme. Les ressorts psychologiques et lexicaux de la «fabrication de l'assentiment» dans le monde. Mais aussi la signification des événements de Seattle, le fonctionnement de l'ONU et des cours internationales de justice, le fondement de l'économie capitaliste depuis les années 1970... Derrière le Chomsky politique se manifeste le linguiste, insistant sur la détérioration et la falsification du langage, moyen pour une certaine idéologie néo-libérale de faire passer les vessies pour des lanternes..." 
 
Noam Chomsky enseigne la linguistique au MIT (Massachusetts Institute of Technology) depuis 1955. Philosophe, il est l'auteur de plus de trente ouvrages sur la politique extérieure des États-Unis, la situation des droits de l'homme dans le monde et le rôle des médias dans la fabrication de l'opinion  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"Une étrange dictature", Viviane Forrester  
 
"Nous ne vivons pas sous l'emprise fatale de la mondialisation, mais sous le joug d'un régime politique unique et planétaire, inavoué, l'ultralibéralisme, qui gère la mondialisation et l'exploite au détriment du grand nombre. Cette dictature sans dictateur n'aspire pas à prendre le pouvoir, mais à avoir tout pouvoir sur ceux qui le détiennent. 
 
Nous pouvons résister à cette étrange dictature qui exclut un nombre toujours croissant d'entre nous, mais garde -c'est là le piège, et surtout notre chance- des formes démocratiques." 
 
 
 
 
 
 
 
"L'horreur économique", Viviane Forrester  
 
 
"Nous vivons au sein d'un leurre magistral, d'un monde disparu que les politiques artificielles prétendent perpétuer. Nos concepts du travail et par là du chômage, autour desquels la politique se joue (ou prétend se jouer) n'ont plus de substance: des millions de vies sont ravagées, des destins sont anéantis par cet anachronisme. L'imposture générale continue d'imposer les systèmes d'une société périmée afin que passe inaperçue une nouvelle forme de civilisation qui déjà se pointe, où seul un très faible pourcentage de la population terrestre trouvera des fonctions. L'extinction du travail passe pour une simple éclipse alors que, pour la première fois dans l'histoire, l'ensemble des êtres humains est de moins en moins nécessaire au petit nombre qui façonne l'économie et détient le pouvoir." 
 
"L'Horreur économique", prix Medicis 1996 de l'essai, s'est vendu en France à plus de 400.000 exemplaires, et a été traduit dans 24 langues. 
 
 
 
 
 
 
 
"La grande désillusion", Joseph E. Stiglitz et Paul Chembla  
 
"Aujourd'hui, la mondialisation, ça ne marche pas. Ça ne marche pas pour les pauvres du monde. Ça ne marche pas pour l'environnement. Ça ne marche pas pour la stabilité de l'économie mondiale". L'auteur de ces lignes? Le professeur Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie, ancien conseiller de Bill Clinton, qui en novembre 1999 a démissionné de son poste d'économiste en chef et vice-président de la Banque mondiale: « Plutôt que d'être muselé, j'ai préféré partir », expliquera-t-il. Son livre est un constat qui vaut réquisitoire: preuves à l'appui, il démontre que les règles du jeu économique mondial ne sont souvent fixées qu'en fonction des intérêts des pays industrialisés avancés - et de certains intérêts privés en leur sein -, et non de ceux du monde en développement. Car, en effet, la mondialisation n'a pas seulement mis l'économie au-dessus de tout, mais aussi une vision particulière de l'économie, le fanatisme du marché. Politique d'austérité, libéralisation des marchés des capitaux et privatisations sont appliquées aveuglément, en dépit de leur échec avéré, à tous les pays, en particulier aux pays en transition et du Sud. À lire Joseph Stiglitz, on a le sentiment de comprendre les vrais enjeux du monde d'aujourd'hui, de saisir toute l'urgence d'une réforme en profondeur du statut et des politiques préconisées par les institutions financières internationales." 
 
 
 
 
 
 
 
"Les économistes contre la démocratie - Pouvoir, mondialisation et démocratie", Jacques Sapir  
 
"L'économie s'est-elle substituée à la politique? Tel est peut-être le souhait de certains économistes. Ce livre a pour cible un discours économique qui cherche à vider l'action politique de son sens, un discours qui, sous les dehors d'une soi-disant rigueur scientifique est en réalité profondément anti-démocratique. A travers l'apologie que font certains économistes des agences indépendantes et de la globalisation, c'est le vieux fond libéral hostile à toute forme de souveraineté populaire qui s'exprime. Sous prétexte de parler d'économie, ces économistes veulent nous vendre un droit et une organisation sociale qui les laisseraient libres de tout contrôle et de toute responsabilité. Ce livre analyse le lien qui existe entre une faillite théorique et des comportements souvent douteux. On montre comment le discours de l'économie dominante veut enfermer le citoyen dans un espace qui n'aurait d'autres bornes que la technique et la compassion. Ceci dévoile le projet de faire de l'expert le seul citoyen habilité à peser sur les décisions importantes. Au fur et à mesure que l'expertise des économistes perd en efficacité monte une nouvelle idéologie, l'expertisme. Elle se construit en négation de la chose publique, la République." 
 
 
 
 
 
 
 
 
"Keynes ou l'économiste citoyen", Bernard Maris  
 
"Proche du courant post-keynésien, Bernard Maris s'emploie à redécouvrir les fondements du message de l'économiste anglais: l'économie de marché est foncièrement instable. Il y règne l'incertitude sur l'avenir, l'irrationalité et le mimétisme des comportements. Chômage, déséquilibres, bulles financières, caractérisent le capitalisme. Si Keynes reconnaît qu'il permet la satisfaction des besoins humains, l'accumulation du capital, "l'argent pour l'argent" ne saurait être la fin de l'activité humaine. Il faut remettre la cité au premier plan et "l'économie au vestiaire".  
 
Plus qu'une nouvelle interprétation, ce petit livre percutant présente l'homme Keynes dont les passions, les utopies et la vision du monde sont inséparables de la théorie." 
 
 
 
 
 
 
 
"Enron, la faillite qui ébranla l'Amérique", A.S.Chassany et J-Ph.Lacour  
 
"Dallas, le 3 décembre 2001: Enron se place sous la protection de loi américaine sur les faillites. De mémoire de trader, d'homme d'affaires et de petit porteur, c'est la plus importante défaillance de l'histoire récente des Etats-Unis. Avec son chiffre d'affaires de plus de 100 milliards de dollars, le mastodonte texan de l'énergie n'était donc pas invincible. Les investisseurs et les bourses sont pris de panique. La chute d'Enron a été fulgurante. Personne n'a pu anticiper une telle catastrophe, et surtout pas les spécialistes de la finance, qui n'avaient cessé de recommander aux épargnants d'acheter le titre. Fraudes, malversations, mensonges, enrichissements personnels; collusion avec le pouvoir politique... Après la gloire, l'heure est bien à la vérité. Et la vérité n'est pas belle à voir: c'est le véritable visage du capitalisme effréné que dévoile l'histoire de cette faillite. Sur un rythme de thriller, cette enquête, menée par deux journalistes, révèle la face cachée de l'aventure Enron: de la prodigieuse ascension à la débâcle vertigineuse d'un géant américain." 
 
 
 
 
 
 
 
"Ils vont tuer le capitalisme", Claude Bébéar  
 
"De l'affaire Enron à la chute de Vivendi, de l'éclatement de la bulle internet à la crise de confiance que traversent les marchés, la planète vit désormais dans la hantise d'un effondrement de tout le système économique et financier. Mais qui veut saboter le capitalisme? Pourquoi des analystes financiers, des banquiers d'affaires et des patrons mégalos ou sans scrupules semblent-ils s'acharner à scier la branche sur laquelle ils sont assis? Et que peut-on faire pour remettre sur pied un capitalisme à visage humain en y injectant de la confiance et de la responsabilité? 
 
Dans ce livre d'entretiens, Claude Bébéar, fondateur et président du conseil de surveillance d'AXA (leader mondial de l'assurance), apporte son témoignage, celui d'un chef d'entreprise révolté par les excès qu'il a vu se multiplier autour de lui. Avec pédagogie, il décrypte les phénomènes de spéculation, de panurgisme et de dérive des egos qui ont causé la déroute de tant d'entreprises flamboyantes et d'épargnants de bonne foi." 
 
 
 
 
 
 
 
 
"L'illusion économique", Emmanuel Todd 
 
 
"Le degré d'adhésion des classes dirigeantes d'une nation au libre-échangisme est inversement proportionnel à l'évolution de leur niveau culturel: plus celui-ci baisse, plus les thèses mondialistes prospèrent. Non seulement l'ouverture des frontières commerciales s'est plutôt traduite par un tassement de la croissance mondiale, mais elle a en plus favorisé un retour spectaculaire des inégalités au sein des nations développées. La construction européenne façon Maastricht exprime un saut irréaliste dans l'idéologie, fruit combiné d'une utopie monétaire qui nie l'existence des diversités nationales et d'une utopie libre-échangiste, masque emprunté par une élite malthusienne pour défendre son idéal inégalitaire." L'Expansion - Henri Gibier 
 
"Les croyances collectives tendent à s'effriter sous les coups portés aux sentiments nationaux par des élites culturelles, adeptes de la "pensée zéro", qui affichent leur impuissance face à un phénomène économique jugé inéluctable et extérieur: la mondialisation. (...) 
À la double utopie, économique et monétaire, d'une mondialisation dont les contre-performances sont patentes, et à la démission des classes dirigeantes, Emmanuel Todd oppose un retour à une forme de protectionnisme national dans les relations commerciales extérieures, qui permettrait le renforcement du libéralisme à l'intérieur, la relance de la demande globale, et par là même un véritable retour à l'idéal démocratique égalitaire, actuellement largement bafoué par les élites dirigeantes." Futuribles - Stéphanie Debruyne 
 
 
 
 
 
 
 
"J'accuse l'économie triomphante", Albert Jacquard  
 
 
Il n'y a plus de jour où l'on ne nous affirme que l'économie gouverne le monde, que les lois de la rentabilité et du marché constituent une vérité absolue. Quiconque conteste cette nouvelle religion est aussitôt traité d'irresponsable. Mais une société humaine peut-elle vivre sans autre valeur que la valeur marchande? Prenant ses exemples dans les domaines les plus variés - logement, emploi, santé, environnement, alimentation... - Albert Jacquard démontre les méfaits de l'économisme triomphant et fanatique qui prétend aujourd'hui nous gouverner. Economiste et scientifique, il expose ici en des pages rigoureuses et claires, appuyées sur une vaste information, les convictions qui fondent son engagement. Il nous invite à refuser la fatalité inhumaine de l'intégrisme économique. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"La société civile: le 3è pouvoir", Nicanor Perlas  
 
Dans notre monde dominé par les pouvoirs économiques et politiques, un troisième pouvoir est en train de s'affirmer et de contrebalancer les deux premiers: celui de la société civile. C'est cette composante de l'organisme social qui trouve sa raison d'être dans la culture, au sens très large que lui donne l'auteur, et qui englobe les notions de "spirituel, humain, social, culturel et écologique". 
 
Si la société civile devient capable d'affirmer son identité et de s'organiser, les sphères de l'économie et de la politique seront progressivement contraintes de prendre en compte les valeurs qu'elle exprimera, dans une démarche de respect mutuel, et l'on s'acheminera, via une "triarticulation sociale", vers une autre mondialisation, véritablement au service de tous. Un défi formidable! 
 
Ce livre est le fruit de plusieurs décennies d'un travail intense dans le domaine du développement durable. L'auteur a forgé ses concepts au fil de son action sur le terrain, au niveau local, national et international. Loin de dicter le chemin, ce livre est un outil de compréhension du processus mondial en cours. Car tout reste encore à inventer... 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"La mafia pharmaceutique et agro-alimentaire", Dr Louis de Brouwer 
 
 
La medecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parviennent à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financiers. 
 
Des médicaments, des vaccins, des produits alimentaires dangeureux sont mis sur le marché et y demeurent, malgré les accidents provoqués. 
 
En s'appuyant sur une documentation rigoureuse, le Dr De Brouwer démontre l'existence de fraudes, d'abus de confiance, et d'escroqueries au sein de notre système de santé. 
 
Louis de Brouwer est docteur en médecine, spécialiste en biologie moléculaire et en homéopathie. Outre le fait d'avoir été l'un des médecins de François Mitterand, le Dr De Brouwer est consultant pour l'UNESCO. Il préside ou anime plusieurs associations qui luttent contre la "pollution médicamenteuse" ou contre la vvisection. 
 
 
 
 
 
 
 
"Ces maladies crées par l'homme - Comment la dégradation de l'environnement met en péril notre santé", Dr Dominique Belpomme  
 
 
Jusqu'aux années 1970, il n'existait pas de cancérologues en France. Cette discipline n'était, en effet, pas reconnue par l'ordre des médecins. L'un des premiers à exercer cette nouvelle fonction fut le professeur Belpomme. 
 
Or, depuis la seconde guerre mondiale, le nombre de décès provoqués par le cancer, en France, a doublé: 150 000 morts par an! La croissance de cette mortalité s'observe dans tous les pays industrialisés. Il apparaît en effet que la plupart des cancers sont une conséquence de la pollution de notre environnement. C'est donc un tableau très noir, et pour tout dire passablement effrayant, que le professeur Belpomme brosse de notre avenir sanitaire. "On soigne les malades atteints du cancer, constate-t-il, et non l'environnement qui est lui-même malade." Le cancer est donc devenu "une maladie de civilisation" comme le définissait déjà René Dubos. C'est le cas d'un grand nombre de nos maladies qui ne sont plus d'origine naturelle, mais artificielles, fabriquées en quelque sorte par l'homme lui-même. Tel est le cas, en particulier des stérilités masculines, des malformations congénitales, de la plupart des maladies cardiovasculaires, de l'obésité, de certains diabètes, des infections nosocomiales, des allergies, de l'asthme… 
 
Sur les 150.000 morts par an en France par cancer, il n'y en a que 30.000 dont le décès est lié au tabac. Il reste donc à expliquer les 120.000 autres cas liés au stress et à notre mode de vie en général. 
 
Dominique Belpomme, président de l'association française pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse (Artac) et directeur du centre d'évaluation de la recherche sur le cancer (Cerc) est l'un des acteurs majeurs du "plan cancer" lancé par le président de la République. 
 
 
 
 
 
 
 
"La société cancérigène", Geneviève Barbier et Armand Farrachi  
 
 
Le cancer est aujourd'hui la deuxième cause de mortalité en France, la première chez les hommes. Pourquoi la lutte, qui s'est concentrée sur les soins la recherche de nouveaux traitements et le tabac, connaît-elle un tel échec, malgré l'énormité des sommes engagées? Et si l'on se trompait de cible? S'il fallait inventer d'autres voies? Inverser la perspective? Ne plus s'attaquer seulement aux effets et aux facteurs de risque individuels, mais aussi aux causes sociales, professionnelles et environnementales? 
 
Le livre dénonce, chiffres à l'appui, les silences des discours officiels et les intérêts de bien des lobbies. Car la disparition du cancer serait préjudiciable à des pans entiers de notre économie. Veut-on vraiment faire reculer le cancer? Ce livre décapant, qui allie la conviction à la rigueur scientifique, démontre que cette maladie n'est pas une fatalité. 
 
Geneviève Barbier est médecin, membre du Syndicat de la médecine générale, et membre du comité de rédaction de la revue "Pratiques, les cahiers de la médecine utopique" 
Armand Farrachi, romancier et essayiste, a notamment publié "Les Ennemis de la Terre" et "Les Poules préfèrent les cages". 
 
 
 
 
 
 
 
"Le complexe médico-industriel", ATTAC  
 
"Depuis une trentaine d'années, dans tous les pays développés, les systèmes de santé ont subi de profondes transformations dues à l'emprise croissante des lobbies et des intérêts privés sur les politiques publiques. Par analogie avec le " complexe militaro-industriel " dénoncé par Eisenhower en 1958, on peut désormais parler d'un " complexe médico-industriel ". C'est lui qui dicte les pratiques médicales en transformant maladie et santé en marché pour consommateurs de soins et de médicaments. 
 
Ce véritable hold-up financier, que cet ouvrage analyse dans le détail, remet en cause des acquis de civilisation. Contre la rapacité des multinationales de la pharmacie, une autre logique, celle du bien commun, est possible." 
 
 
 
 
 
 
 
"Mal de Terre", Hubert Reeves  
 
 
"Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc. 
 
La situation est-elle vraiment dramatique? Que penser des thèses qui contestent ce pessimisme? A partir des données scientifiques les plus crédibles -et de leurs incertitudes-, Hubert Reeves dresse un bilan précis des menaces qui pèsent sur la planète. Son diagnostic est alarmant: si la vie sur Terre est robuste, c'est l'avenir de l'espèce humaine qui est en cause.  
 
Le sort de l'aventure humaine, entamée il y a des millions d'années, va-t-il se jouer en l'espace de quelques décennies? Notre avenir est entre nos mains. Il faut réagir, et vite, avant qu'il ne soit trop tard." 
 
 
 
 
 
 
 
"Le syndrome du Titanic", Nicolas Hulot  
 
 
"Les jours du monde tel que nous le connaissons sont comptés. Comme les passagers du Titanic, nous fonçons dans la nuit noire en dansant et en riant, avec l'égoïsme et l'arrogance d'êtres supérieurs convaincus d'être «maîtres d'eux-mêmes comme de l'univers». 
 
Et pourtant, les signes annonciateurs du naufrage s'accumulent: dérèglements climatiques en série, pollution omniprésente, extinction exponentielle d'espèces animales et végétales, pillage anarchique des ressources, multiplication des crises sanitaires. Nous nous comportons comme si nous étions seuls au monde et la dernière génération d'hommes à occuper cette Terre: après nous, le déluge? 
 
Notre planète est un espace exigu, aux équilibres précaires. Ce livre est un ultime cri d' alerte avant de céder au désespoir: si nous tous, riches comme pauvres, ne modifions pas immédiatement notre comportement pour faire «mieux avec moins» et mettre l'écologie au centre de nos décisions individuelles et collectives, nous sombrerons ensemble." 
 
 
 
 
 
 
 
"L'État voyou", William Blum  
 
 
"Si j'étais président, j'arrêterais en quelques jours les attaques terroristes contre les Etats-Unis. Définitivement.  
 
D'abord, je présenterais mes excuses à toutes les veuves, aux orphelins, aux personnes torturées, à celles tombées dans la misère, aux millions d'autres victimes de l'impérialisme américain.  
 
Ensuite, j'annoncerais aux quatre coins du monde que les interventions américaines dans le monde sont définitivement terminées, et j'informerais Israël qu'il n'est plus le 51e État des États-Unis mais dorénavant - chose curieuse à dire - un pays étranger.  
 
Et puis, je réduirais le budget militaire d'au moins 90 utilisant le surplus à payer des réparations aux victimes. Ce serait plus que suffisant. Le budget militaire d'une année, soit 330 milliards de dollars, équivaut à plus de 18.000 dollars de l'heure depuis la naissance de Jésus-Christ.  
 
Voilà ce que je ferais les trois premiers jours.  
 
Le quatrième jour, je serais assassiné." 
 
William Blum est américain, et ancien fonctionnaire du Département d'Etat 
 
 
 
 
 
 
 
"Mike contre-attaque!", Mike Moore  
 
 
Journaliste, acteur, et réalisateur américain, Mike Moore dénonce avec un humour féroce le capitalisme sauvage et ses dégats sociaux et écologiques. Michael Moore s'en prend aussi à l'administration Bush, aux faux efforts écologiques, à l'arrogance des Américains, au délire sécuritaire, à l'adolescence chloroformée dans son conformisme, à la confiscation de la démocratie par les élites, au monopole des marchés sur l'échelle mondiale, à l'accroissement dramatique qui sépare les plus riches des plus pauvres... 
 
"Le Bandit-en-chef George W. Bush, dit George II, et son gang, Dick Cheney, Donald Rumsfeld & Co, gouvernent l'Amérique. Ultraconservateurs et richissimes (leur fortune est liée au big business du pétrole, de l'armement, ou des biotechnologies), ils ont fait main basse sur le pays, et partent maintenant en guerre contre «l'Axe du Mal»..." 
 
 
 
 
 
 
 
 
"La guerre des Bush", Eric Laurent  
 
 
"Une nouvelle guerre se prépare en Irak. George W. Bush invoque avec insistance la lutte «du bien contre le mal». Que cache ce discours? Une vérité troublante, immorale, et des questions dérangeantes. Pourquoi l'actuel président américain et son père entretiennent-ils depuis plus de vingt ans des relations avec la famille Ben Laden? Pourquoi un puissant banquier saoudien, beau-frère d'Ousama Ben Laden, soupçonné d'avoir financé les réseaux d'Al Quaïda, a-t-il constamment aidé George W. Bush dans ses activités pétrolières, le sauvant même de la faillite? Comment expliquer l'acharnement du père, lorsqu'il était président, à armer et financer Saddam Hussein, provoquant peut-être l'invasion du Koweit? Puis, douze ans plus tard, l'acharnement du fils à vouloir détruire ce même Hussein?  
 
La Guerre des Bush plonge le lecteur au coeur des secrets les plus inavouables et éclaire toutes ces zones d'ombre. Une fois le livre refermé, plus personne ne pourra jamais croire à la vérité officielle." 
 
 
Eric Laurent est grand reporter au Figaro et spécialiste de politique étrangère. Il est l'auteur de nombreux documents à succès dont La guerre du Golfe avec Pierre Salinger. 
 
 
 
 
 
 
 
"Le monde secret de Bush", Eric Laurent  
 
 
"Bien qu'arrivé à la Maison Blanche au terme d'une élection controversée, jamais un président américain n'a détenu autant de pouvoir ni manifesté autant d'arrogance que George W. Bush. 
 
Sa trajectoire, cependant, reste entourée de secrets, marquée par des alliances troublantes et des manipulations financières inavouables. 
 
Qui gouverne réellement l'Amérique? Des idéologues, des financiers, des fanatiques religieux? 
 
Telles sont les questions posées par ce livre qui suscitera la stupeur et, inévitablement, l'inquiétude." 
 
 
 
 
 
 
 
"Le monde selon Bush" - DVD, William Karel  
 
 
"Qui est George W. Bush? Ce documentaire de William Karel raconte les mille jours de sa présidence, des attentats du 11 septembre au bourbier de la guerre en Irak. Il dresse un état des lieux de l'Amérique d'aujourd'hui et tente de comprendre comment un petit groupe d'hommes, sous l'influence des faucons néo-conservateurs, a pris le contrôle de la politique étrangère américaine.  
 
Le film dénonce les travers de la dynastie Bush au grand complet. On y découvre le grand-père de l'actuel Président, Prescott Bush, qui a fait fortune en prenant la direction d'entreprises nazies, après l'arrivée au pouvoir de Hitler, avant de voir ses entreprises saisies pour collaboration avec l'ennemi. Les relations entre George Bush père et Saddam Hussein sont aussi largement évoquées.  
 
"Le monde selon Bush" est pour une large partie basé sur une enquête menée par le grand reporter spécialiste de politique étrangère Eric Laurent dans son livre, "Le monde secret de Bush". 
 
 
 
 
 
 
 
"La face chachée du 11 septembre", Eric Laurent  
 
 
"Ce livre dévoile les mensonges et les silences officiels qui entourent encore la tragédie du 11 septembre. Un an d'enquête a conduit l'auteur notamment aux Etats-Unis, au Pakistan, à Dubaï, au Qatar, en Israël et jusqu'aux montagnes de Tora Bora, dernier refuge de Ben Laden en Afghanistan. Enquête minutieuse, parfois dangereuse, qui révèle la face cachée du 11 septembre. Pourquoi Ousama Bin Laden n'est-il toujours pas inculpé par les responsables américains pour les attentats du 11 septembre? Pourquoi la CIA qui surveille en permanence les marchés financiers n'a-t-elle pas détecté le plus grand délit d'initiés de l'histoire qui a précédé le 11 septembre? Quelle est la véritable identité des pirates de l'air? Quel est le rôle exact joué par les services secrets du Pakistan? Et que penser de l'Arabie Saoudite, de ce royaume dont trois princes ont connu une mort mystérieuse à la suite du 11 septembre? Les informations recueillies dans ce livre, les faits troublants, les contradictions et les manipulations avérées battent en brèche les vérités admises." 
 
 
 
 
 
 
 
"Les mensonges de George W.Bush, Scott Ritter  
 
"Pourquoi faudrait-il mener une seconde guerre contre l'Irak? demandait Scott Ritter en 2002, après avoir démissionné en 1998 de son poste d'inspecteur en armements pour l'ONU. "Quand j'ai quitte l'Irak, l'infrastructure et les équipements avaient été éliminés à 100 Cela est indiscutable." Scott Ritter savait déjà que les raisons évoquées à Washington - la menace des armes de destruction massive, et la collusion entre Saddam Hussein et Al-Qaida - n'existaient que dans les fantasmes de pouvoir hégémonique du clan néo-conservateur de George W. Bush.  
 
Dans ses livres précédents (Endgame, 1999 et Guerre à l'Irak, 2002), Scott Ritter avait déjà tiré le signal d'alarme. Scott Ritter raconte dans celui-ci les efforts qu'il a déployés au Congrès de Washington, puis à Bagdad et dans les médias du monde entier pour empêcher le gouvernement américain d'attaquer unilatéralement l'Irak, sans mandat du Conseil de sécurité de l'ONU.  
 
Sa dénonciation des mensonges de Bush, Cheney, Rumsfeld et "du reste de leur bande de cow-boys justiciers" lui a valu la calomnie et les attentions du F B.I. Mais la "croisade" de Bush a eu lieu et des milliers de civils irakiens et des centaines de soldats anglo-américains sont morts pour un arsenal fantôme l'Irak "libéré" est occupé, meurtri, ruiné et au bord de l'éclatement. Malgré la capture de Saddam Hussein et des dignitaires de son régime, aucune arme de destruction massive n'a été trouvée. Le mensonge de George W. Bush a été la cause de l'écrasement d'une nation de 20 millions d'habitants par la plus grande puissance militaire de la planète. Ce livre est le plaidoyer solennel de l'homme qui a eu raison avant tout le monde et qui craint que le peuple américain ne perde ses valeurs et les principes fondamentaux de sa République, édictés par sa Constitution en 1776. Il lance aussi un vibrant appel à la mobilisation pour changer de président en novembre 2004, grâce à l'arme suprême de la démocratie américaine: le bulletin de vote."  
 
Scott Ritter, ancien "marine", a été inspecteur des Nations-unies en désarmement en Irak de 1991 à 1998. Spécialiste de la question irakienne, il a publié de nombreux articles à ce sujet, ainsi que le livre "Guerre à l'Irak, ce que l'équipe Bush ne dit pas". 
 
 
 
 
 
 
"Or noir et Maison Blanche, comment l'Amérique a vendu son âme pour le pétrole saoudien", Robert Baer  
 
 
"Membre pendant vingt ans de la division des opérations clandestines de la CIA, Robert Baer, nous révèle le pacte terrifiant qui unit les élites économiques et politiques américaines à la famille royale saoudienne. Réseaux de financement, accords secrets, corruption... Une enquête au cœur d'un système où les enjeux, qui s'élèvent à des milliards de dollars, menacent l'équilibre de la planète." 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"Les nouvelles preuves sur l'assassinat de J.F.Kennedy - Le clan Bush est-il coupable?", Caroline Lebeau  
 
"Une enquête journalistique qui expose en pleine lumière des liens auparavant insoupçonnés ou occultés entre le parti républicain, la mafia, les milieux anticastristes, le complexe militaro-industriel et les services secrets américains, l'auteur renoue avec patience et sagacité les fils rompus d'une quête légitime de vérité sur les véritables circonstances de l'assassinat du président John Fitzgerald Kennedy.  
 
Surmontant avec un courage qu'il faut saluer menaces, pressions et intimidations, Caroline Lebeau dévoile les aspects les plus compromettants de l'un des événements politiques majeurs du dernier demi-siècle." 
 
 
 
 
 
 
 
"Une lueur d'espoir", Marc-Edouard Nabe 
 
 
 
En partant des attentats du 11 Septembre, Marc-Edouard Nabe se livre à une critique féroce du système, de son hypocrisie, son mercantilisme, et son totalitarisme médiatique. 
 
Un livre prophétique et politiquement incorrect... 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"La fin de la liberté", Gore Vidal  
 
"La Fin de la liberté" montre avec calme et rigueur que les attentats américains étaient somme toute logiques, prévisibles, retour de bâton obligé d'une politique ultra-sécuritaire et protectionniste qui n'hésite pas à jouer les apprentis sorciers en finançant et manipulant des individus comme Ben Laden. Pour Gore Vidal, il semble plutôt comique de se draper de vertu dans la bannière étoilée et de porter comme étendard les articles de la constitution de 1791 sur les libertés individuelles. Car, autre histoire des événements que Gore Vidal nous permet de comprendre dans son essai, il y a depuis cinquante ans un recul des libertés aux États-Unis. Il détaille comment les citoyens américains sont tous fichés par le jeu des cartes de crédit et autres inscriptions consuméristes en tout genre. Il explique aussi comment une paranoïa panique s'insinue subrepticement dans les consciences (...). L'Amérique marche-t-elle sur la tête? Gore Vidal le pense intimement, lui qui annonce pour le XXIe siècle un changement d'ère caractérisé par le renforcement d'un état de sécurité nationale aux États-Unis, "dont le seul objectif est de mener des guerres perpétuelles chaudes, froides et tièdes." Denis Gombert - Amazon.fr 
 
 
 
 
 
 
 
"La loi du plus fort - Mise au pas des états voyous", Noam Chomsky, Ramsey Clark, Edward W. Said  
 
Trois intellectuels américains de renommée internationale, Noam Chomsky, Edward W. Said et Ramsey Clark, posent dans trois contributions indépendantes la question de la définition par les Etats-Unis des États dits «voyous». Ils démontrent que les actions engagées contre eux peuvent être en contradiction avec les résolutions des Nations unies et le droit international. Ensemble, ils révèlent la face noire de la politique étrangère américaine. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"Tous aux abris", Mike Moore  
 
"L'image est dans toutes les mémoires. Michael Moore pointait un doigt accusateur et lançait: "Honte à vous, Mr Bush!". C'était au festival de Cannes de 2003, après le déclenchement de la guerre en Irak. Aujourd'hui, George W., le Bandit-en-Chef (avec lui, sa clique de millionnaires), est toujours là. Pire, il prépare sa réélection au poste de Commandant en Chef de la Mère Patrie en 2004! Il n'en fallait pas plus à Mike pour repartir au front et TOUT faire pour que le cauchemar s'arrête. Dans ce nouveau livre, aussi drôle et provocateur que les précédents, Mike est l'Arme de Dérision Massive (il a quand même perdu vingt kilos en quelques mois en cessant de manger… des produits sans sucre), il s'attaque aux mensonges et à la propagande dont son pays est victime depuis le 11 septembre, notamment sur les armes de Saddam. Il révèle les petits secrets du roi George du pétrole irakien et ses petites combines avec ses copains saoudiens. 
 
Et Mike se fâche vraiment quand il voit que sa patrie est devenu les États-Unis de la Peur, où les libertés publiques sont menacées alors que les grands patrons-truands des multinationales US échappent à la prison! Le monde à l'envers!" 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"Pourquoi le monde déteste-t-il l'Amérique", Ziauddin Sardar et Merryl Wyn Davies  
 
Pourquoi, comme le disait une banderole brandie au Pakistan, les Américains sont-ils le "peuple le plus haï de la terre"? 
Ce ne sont pas les Américains en tant que peuple qui sont détestés; ce qui est rejeté plus fondamentalement, c'est leur entité politique caractérisée par une violence répressive, le souci obsessionnel de leurs propres intérêts, la façon de se positionner comme centre du monde et surtout d'édicter comme norme ce qui doit être "raisonnable, normal et approprié". La civilisation américaine incarne un paradoxe: d'un côté l'ouverture à des populations et des cultures très diverses, de l'autre l'adhésion à une forme de pensée unique où les valeurs reines sont la rentabilité, la cohésion du groupe, la foi, la famille. Trahir ce pacte et ces valeurs, c'est ne plus être américain. Pourtant, des voix critiques s'élèvent aux États-Unis au sujet de la "croisade contre le terrorisme" mais, au nom d'une unité hégémonique de principe, ces voix sont peu relayées. "Pourquoi le monde déteste-il l'Amérique?" plonge au cœur du système américain. Il avertit que le plus grand ennemi de l'Amérique c'est peut-être bien elle-même, tant le pays est incapable d'avoir un regard distancié et critique sur lui-même et de prendre en compte le discours des autres. Un livre qui n'a pas peur d'affirmer que l'Amérique n'est pas forcément, pour parodier le mot de Lincoln, "ce que l'humanité peut espérer de mieux". 
 
 
 
 
 
 
 
"Après l'Empire", Emmanuel Todd  
 
Les États- Unis ne peuvent plus vivre de leur seule production. Le déficit commercial des Etats-Unis ne cesse de s'accroître. La mondialisation est en train de montrer au monde qu'il peut se passer de l'Amérique, mais l'Amérique quant à elle s'aperçoit qu'elle ne peut plus se passer du monde. Dépendance économique, affaiblissement démocratique, bi-polarisation sociale tels sont donc les principaux symptômes de déclin identifiés par l'historien et démographe Emmanuel Todd qui avait prévu dès 1976 l'effondrement soviétique uniquement d'après des observations démographiques. Des signes qui permettent de comprendre pourquoi les États-Unis sont aussi actifs sur la scène internationale afin de conserver le statut de superpuissance. L'Amérique doit mettre en scène sa puissance sur le terrain géostratégique. Selon trois principes en apparence irrationnels: ne jamais résoudre définitivement un problème; se focaliser sur des micropuissances; développer un arsenal militaire censé être indépassable. La lutte contre le terrorisme, les menaces contre "l'axe du mal" et l'Irak apparaissent ainsi pour ce qu'ils sont: des prétextes. Pour Todd, les États-Unis par leur politique internationale maintiennent artificiellement des foyers de tension et sont donc devenus un obstacle à la paix dans le monde. 
 
 
 
 
 
 
 
"Guerres du XXIe siècle : Peurs et menaces nouvelles", Ignacio Ramonet  
 
 
"Le spectre de désastres hantent désormais le monde. Ils appartiennent essentiellement à deux catégories. D'une part, les crises géopolitiques de type nouveau provoquées par l'hyperterrorisme, l'ultranationalisme et les fondamentalismes. D'autre part, les atteintes à l'écosystème qui sont à l'origine de catastrophes naturelles ou industrielles de très grande ampleur. Comment éviter ces nouveaux dangers qui menacent, à terme, la survie de l'humanité?" 
 
 
 
 
 
 
 
"Surveillance électronique planétaire", Duncan Campbell et Heloïse Esquié  
 
 
 
Le rapport officiel commandé par l'Union Européenne sur le réseau d'écoutes américain Echelon. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"Les nouveaux chiens de garde", Serge Halimi  
 
"Les médias français se proclament "contre-pouvoir". Mais la presse écrite et audiovisuelle est dominée par un journalisme de révérence, par des groupes industriels et financiers, par une pensée de marché, par des réseaux de connivence. 
Alors, dans un périmètre idéologique minuscule, se multiplient les informations oubliées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices, les services réciproques. 
Un petit groupe de journalistes omniprésents - et dont le pouvoir est conforté par la loi du silence - impose sa définition de l'information-marchandise à une profession de plus en plus fragilisée par la crainte du chômage. Ces appariteurs de l'ordre sont les nouveaux chiens de garde de notre système économique." 
 
 
 
 
 
 
 
"Le gouvernement invisible, Naissance d'une démocratie sans le peuple", Laurent Joffrin 
 
 
 
Par un journaliste du Nouvel Obs, un hebdo habituellement au service de la "pensée unique". 
 
Serait-ce un livre pour noyer le poisson, en parlant seulement de l'arbre qui cache la forêt?... 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"Bonjour paresse - De l'art et la nécessité d'en faire le moins possible en entreprise", Corinne Maier  
 
 
"Le travail, c'est pas la fête. Contre le raffarinesque « La France doit se remettre au travail », Corinne Maier pousse son cri du 1er mai: Vive la paresse, un ephlet (essai-pamphlet) spécial sinistrose, à usage thérapeutique.  
 
"Bonjour paresse" est là pour dire enfin la vérité: la grande entreprise, personne n'y croit plus. La foi nous a quittés, nous autres naguère chevaliers combattants de l'Ordre de la Firme. À présent les cadres moyens, petits boulons dans une machine jargonnant un sabir grotesque, n'attendent qu'une chose: le solde à la fin du mois.  
 
Mais alors, que faire? Rien surtout! Affirme ce livre. Soyons individualistes et inefficaces en attendant que ça s'effondre et qu'une nouvelle société advienne où chacun cultivera essentiellement son jardin et conservera un à-côté accessoire dans une grande structure, histoire de survivre quand même." 
 
Corinne Maier est économiste; actuellement à temps partiel dans une grande entreprise française privatisable (EDF). 
 
 
 
 
 
 
 
"99 francs" ou "14,99 euros", Frédéric Beigbeder 
 
 
 
 
 
 
Un roman acide et drole pour dénoncer le mercantilisme universel... 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"No Logo", Naomi Klein  
 
"Aujourd'hui, le village est planétaire, et la société de consommation dominée par les marques. (...) Les multinationales ne se sont pas contentées de bouleverser les mentalités et le monde du travail, elles ont modifié l'économie de nombreux pays. Dans cette course au profit, beaucoup sont en effet passés maîtres dans l'art de bafouer les droits de l'homme: l'esclavage moderne existe dans les zones franches industrielles ou dans certains Etats du Tiers-Monde, véritables paradis fiscaux pour sociétés capitalistes. Pendant ce temps, en Occident, les usines ferment les unes après les autres et migrent sous des cieux plus complaisants, les mises à pied massives se succèdent à un rythme effréné, les contrats à temps partiel ou intérimaires remplacent les emplois permanents, les acquis sociaux sont laminés, voire disparaissent. Mais le nombre augmente de ceux qui prônent l'urgence d'une mobilisation vigilante, et qui dénoncent les abus commis par les grandes sociétés. Venant de partout, ils se rencontrent, se regroupent et s'organisent sur l'Internet: ils veulent récupérer l'espace, la rue, la forêt dont on les a privés, ils réclament des emplois et des conditions de travail décents, un partage plus équitable des énormes bénéfices des multinationales, ils refusent d'acheter des produits pour lesquels d'autres, à des milliers de kilomètres de chez eux, paient le tribut de la sueur et parfois du sang. Ce nouveau militantisme, reflet de la pluralité sociale et ethnique de bon nombre de pays, a déjà gagné des batailles contre les logos mastodontes. Les événements de Seattle ou de Prague l'ont prouvé: il est encore temps de dire non à la tyrannie des marques." 
 
 
 
 
 
 
 
"La mondialisation racontée à ceux qui la subissent", Hervé-René Martin  
 
"Nous vivons tous aujourd'hui sous le règne de ce que nous appelons la Mondialisation, sans pour autant savoir que ce terme recouvre exactement. Connaît-on par exemple ses effets sur le contenu de notre assiette: des aliments transgéniques à la vache folle, en passant par les édulcorants de synthèse et leur propension à nous provoquer des tumeurs au cerveau? Sait-on à quel point elle participe de la croissance du chômage, de la violence urbaine et de la montée de l'extrême-droite dans les pays du Nord? Mais aussi de la déforestation, de la famine, et du retour de l'esclavage dans les pays du Sud? A-t-on idée de son influence sur nos conditiens de travail, le niveau de nos salaires ou encore le taux de faillite de nos entreprises? La question que se pose le héros de ce livre, un détective qui vit retiré dans la montagne d'où il mène son enquête entre explorations sur Internet et conversations avec le charpentier du village, est: Qui c'est, la mondialisation? Mais si la question peut paraître naïve, la réponse se révèle, elle, beaucoup plus inquiétante." 
 
 
 
 
 
 
 
"Le procès de la mondialisation", Edouard Goldsmith et Jerry Mender  
 
"Les plus grands spécialistes mondiaux étudient les différents processus de la mondialisation et son impact sur les aspects de la vie: aggravation de la pauvreté et de l'exclusion, démantèlement des économies locales, homogénéisation de la culture, menaces sur les milieux naturels, sur la santé, sur la diversité biologique, sur les processus démocratiques... Ce livre, co-dirigé par les dirigeants du Forum international de la mondialisation, a reçu le prix du meilleur livre politique de l'année aux États-Unis." 
 
 
 
 
 
 
 
"Le monde n'est pas une marchandise", José Bové et François Dufour 
 
 
 
L'analyse et les positions de José Bové et de la Confédération Paysanne à propos de la mondialisation, des OGM, et plus largement, de la marchandisation du vivant. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
"Démocratiser la mondialisation", Boutros Boutros Ghali  
 
 
"Nous sommes, chaque jour, les témoins des bouleversements que génère la mondialisation que certains redoutent, que d'autres portent aux nues. Mais l'effervescence intellectuelle qu'elle entretient, tout comme les peurs et les rejets violents qu'elle provoque, nous montrent que beaucoup reste encore à dire, à imaginer et surtout à faire. Boutros Boutros-Ghali, qui fut, tour à tour professeur de droit, ministre des Affaires étrangères d'Égypte, secrétaire général des Nations unies et, aujourd'hui, secrétaire général de l'Organisation internationale de la francophonie, nous livre sa vision des choses, dans ce contexte d'un monde à la recherche de son destin, d'une mondialisation en quête d'humanisme et de démocratisation. 
 
Il faut à tout prix démocratiser la mondialisation avant que la mondialisation ne dénature la démocratie et avant que n'éclatent des conflits inédits dont les attentats du 11 Septembre 2001 pourraient bien constituer le funeste présage: Telle est la conviction de ce grand diplomate qui, à la lumière de sa longue expérience et des récents événements qui ont secoué le monde, libère sa parole pour nous faire partager ses espoirs d'un monde meilleur." 
 
 
 
"Pouvoir et terreur-entretiens après le 11 septembre", Noam Chomsky  
ed. le serpent à plumes. 
 
Composé d'une longue interview et d'une série de conférences données à New-York et en Californie à l'été 2002, il replace l'attaque terroriste sur le World Trade Center dans le contexte des interventions américaines depuis 1945 et durant la guerre froide au Vietnam, en Amérique Centrale, au Moyen Orient etc...Le terrorisme, c'est l'exercice de la violence sur des populations civiles, qu'elle soit perpétuée par une bande d'extremistes musulmans bien organisée ou bien par l'Etat le plus puissant du monde.En s'appuyant sur ce principe fondamental, Noam Chomsky défie ouvertement les Etats-Unis d'appliquer à leurs propres actions les critères moraux qu'ils exigent et veulent imposer aux autres nations." 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 

 
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